Foulard purwax

Couleur : Multi-couleurs

Pour une utilisation optimale,vous référer au FAQ

Au fil du temps, un accessoire de mode incontounable :
Dans les années 1960, un créateur italien, Emilio Pucci, fabriqua des foulards en soie, multi-couleurs avec des motifs. Et par la suite imité par de nombreux créateurs Hermès, Versace etc… En France, la ville des foulards en soie se trouve être Lyon, avec une industrie « locale » qui est en place depuis le XVI ème siècle.

André Claude Canova est l’un de ces derniers soyeux Lyonnais à imprimer de façon traditionnelle au cadre plat et à roulotter ses foulards à la main. La Princesse Grace Kelly de Monaco était reconnue pour être une amatrice de foulards en soie et en coton.

Les jongleurs débutants l’utilise car sa course est ralentie dans l’air ce qui facilite l’apprentissage des mouvements. On le retrouve également comme accessoire sur scène chez les magiciens et les prestidigitateurs.

Autrefois, le foulard était aussi nommé fichu, qui tire son nom du verbe « ficher » (mettre à la hâte), c’est à dire un triangle d’étoffe, ou un carré plié en triangle, dont les femmes se couvraient la tête et les épaules.

Marie-Antoinette aimait porter un fichu long (type châle), croisé sur la poitrine et noué dans le dos.

Le bandana se distingue quelque peu, notamment au niveau de son utilisation. En effet, le bandana est traditionnellement aux dimensions de 50 à 55 cm de côté. Le terme signifie généralement un tissu en style imprimés, que ce soit en soie, ou tout en coton.

Ce carré de tissu se porte autour du cou, pour tenir les cheveux, noué comme un pirate autour de la tête, mais également noué autour de l’anse d’un sac, au poignet, ou autour de la cheville ainsi que noué à la chaussure… le bandana a de nombreux usages vestimentaires. Il est largement considéré comme neutre en termes de genre et peut être porté par les hommes et les femmes.

Chaque pièce est unique. Vous êtes donc susceptibles de recevoir un produit qui diffère des photographies (coloris, nuances de couleurs….) mais de qualité impérativement équivalente. Les photographies ne peuvent nous engager contractuellement.